La pédagogie humaniste de BUISSONNETS MONTANI, prérequis du bonheur ?

On y est : le Chief Happiness Officer (CHO) est enfin à la mode chez nous. Les entreprises sont dorénavant convaincues d’être suffisamment aliénées pour devoir se doter d’un responsable du Bonheur. En l’absence de réelle formation en Bonheur, on se demande quel type de professionnel peut prétendre remplir à la fois un profile et un cahier des charges fort complexes, pouvant nous faire craindre que le CHO est finalement un mouton à 5 pattes doté d’infinies compétences : vécu professionnel, entregent, empathie, faculté d’écoute active, positivisme, psychologie, goût d’entreprendre, sens de l’humour et du détachement… capable de surcroît de remplir les tâches suivantes : créer un climat positif au sein de l’entreprise, être à l’écoute des collaborateurs/trices et les guider vers un mieux-être, organiser des activités à l’intérieur et à l’extérieur de l’entreprise pour que chacun fasse corps avec l’autre, instaurer un climat d’échange, de partage et de solidarité…. La lumière du bureau du CHO risque de s’éteindre très tard, n’en déplaise à ceux qui nous poussent à faire des économies d’énergie. Finalement, le CHO ne serait-il pas tout bonnement un vendeur de rêve ? Une chose nous semble sûre chez BUISSONNETS MONTANI, la pédagogie humaniste que nous avons mise en place depuis des années va certainement placer sur le marché du travail de futurs jeunes professionnels qui auront déjà acquis la certitude que le bien-être est possible. Ces futurs professionnels pourraient bien contribuer à faire de ce dernier une condition sine qua non de leurs embauches, sachant que le bonheur se présentera toujours comme le Saint Graal dont par ailleurs seule la quête est importante, car s’il devait être déniché, la peur de le perdre, de ne plus en jouir entacherait certainement notre quotidien telle une malédiction.